La craie blanche sur le tapis noir... chercher les mots, chercher l'espace, se les approprier, tracer des limites, des frontières...et puis les effacer. La bobine de chantier : un vaisseau spatial, un vinyle symbole du deejaying,"colonne vertébré du mouvement...ou bien dérouleur d'histoire.... L'appareil à diapos : projection d'un imaginaire, réalité ou fiction, spectre de lumière, support graphique nous permttant de mettre en image l'univers du graffeur. Les cartons : précarité et fragilité...Ils se retournent et projettent de nouveaux horizons, expression du graffiti, language de rue. Costumes blancs : Comme une page blanche, ils permettent de dessiner des personnages, de moins en moins anonyme... La perruque...autre personnage, démurgie, schizophrénie ? La régie lumière et son, parce que tout se fait en direct et que tout doit se voir. La lumière n'est pas un artifice, le technicien fait partie de l'aventure
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